«Nous devons aider la Grèce.» Le message a été décliné dans toutes les langues par les dirigeants européens convoqués lundi à Bruxelles pour un sommet de crise avec la Turquie. La fermeture de la route des Balkans signifie l'arrêt du voyage à la frontière avec l'ancienne République ...
L'Union européenne va solliciter la Turquie et soutenir la Grèce pour que ces deux pays l'aident à régler la crise migratoire, avec la volonté de fermer définitivement "la route des Balkans", lundi lors d'un sommet à Bruxelles.
Le Premier ministre grec a demandé une nouvelle fois dimanche le transfert «urgent» de milliers de migrants vers d'autres pays de l'Union européenne (UE), à la veille d'un sommet extraordinaire UE-Turquie à Bruxelles.
Le premier ministre bulgare a annoncé samedi 5 mars le déploiement de plus de quatre cents hommes venant des rangs de l'armée, de la police et de la gendarmerie, à la frontière avec la Grèce.
Le soleil est revenu sur le camp de réfugiés d'Idomeni, à la frontière gréco-macédonienne. Mais après une nuit pluvieuse, le site n'est qu'un champ de boue. Des feux de camp allumés pour tenter de se réchauffer, s'échappe une odeur âcre.
Mardi 1er mars, dans une interview accordée au Hospodarske Noviny, le premier ministre slovaque, le social-démocrate Robert Fico lançait une énième provocation à l'égard du gouvernement grec avec son ton si mesuré : « Tsipras, si tu ne fais pas ce que tu peux, alors il n'y aura qu'u
On l'imaginait assommée par de mauvais sondages en Allemagne et paralysée, en Europe, par la dérobade de ses alliés, France comprise. Pourtant, ce docteur en chimie-physique qui est aussi fille de pasteur a les principes aussi têtus que les convictions.
10.000 migrants sont bloqués à la frontière greco-macédonienne. Mais c'est dix fois plus de candidats à l'asile que redoute d'accueillir désormais la Grèce
La frontière entre la Grèce et la Macédoine s'est brièvement rouverte dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 mars, laissant entrer environ 170 migrants, pour beaucoup, syriens et irakiens.