Pays: Brésil

Il a affirmé avoir "déchargé l'ensemble de sa cargaison sans aucune perte". Quatre autres navires, de différents pays, sont également suspectés.

La société gérante Delta Tankers Ltd du pétrolier grec Bouboulina, «principal suspect» selon Rio de la gigantesque marée noire au Brésil, a nié samedi toute responsabilité dans cette catastrophe environnementale, estimant qu'il n'y avait «aucune preuve» de fuite sur le tanker.

Un tanker battant pavillon grec est «le principal suspect» de la marée noire qui a touché plus de 2.000 km de côtes du nord-est du Brésil, ont annoncé vendredi les autorités, trois mois après le début de cette catastrophe d'une magnitude «inédite».

Les autorités brésiliennes suspectent un pétrolier battant pavillon grec d'être à l'origine de la marée noire qui a touché plus de 2 000 km de côtes du nord-est du Brésil.

Le gouvernement brésilien a déterminé le principal suspect à l'origine de l'écoulement de pétrole qui a touché un quart du littoral atlantique du pays en deux mois.

Le ministère de la Défense du Brésil a déclaré qu'un tanker battant pavillon grec est considéré comme «le principal suspect» de la catastrophe écologique qui touche plus de 2 000 kilomètres de côtes dans le nord est du pays.

Les Bleus ont un adversaire potentiel en moins pour leur quart de finale. Cela ne leur déplaira pas forcément puisqu'il s'agit de la Grèce, qui fut longtemps leur bête noire.

La Grèce, tiraillée entre les envies de jeu rapide de sa star Giannis Antetokounmpo et la prudence traditionnelle de ses joueurs d'Euroligue, n'est pas aussi forte que ce qu'on pouvait attendre.

La Grèce est au deuxième tour. C'est bien le minimum pour une équipe considérée comme un très sérieux outsider de la Coupe du monde avec son joyau, le MVP de la NBA Giannis Antetokounmpo, entouré de joueurs cadres de l'Euroligue. Mais son premier tour n'a pas été au niveau escompté.

La coïncidence est plutôt maladroite : mardi, alors que la Grèce perdait contre le Brésil (79-78) son deuxième match à la Coupe du monde, actuellement en Chine, la presse grecque révélait à Athènes que le nouveau gouvernement de droite, élu en juillet, avait discrètement fait passer un décre