
Un édito de Vincent Slits.
Un accord fut donc trouvé au bout de 17 heures de négociations entre chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro pour ouvrir la voie à un troisième plan d'aide à la Grèce. L'irréparable - le scénario d'un Grexit agité tout le week-end par le club des pays les plus intransigeants pour forcer Athènes à de nouvelles concessions - a donc été évité de justesse. L'essentiel a été préservé : l'intégrité de la zone euro. L'axe franco-allemand, mis sous très forte tension, n'a pas implosé.
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