Le marathon des négociations inter-chypriotes organisées en Suisse s'est conclu sans accord vendredi 7 juillet au matin à l'aube, échouant à débloquer un conflit vieux de plusieurs décennies, a annoncé le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres.
Chypriotes grecs et turcs se retrouvent mercredi dans la station alpine suisse de Crans-Montana pour tenter de réunifier leur île méditerranéenne divisée depuis plus de 40 ans par une «ligne verte» sous le contrôle des Casques bleus de l'ONU.
La Grèce a été exclue du système dit de Dublin après plusieurs condamnations par la Cour européenne des droits de l'homme pour ses mauvaises conditions d'accueil.
Novartis a probablement soudoyé «des milliers de médecins et de fonctionnaires pour promouvoir ses produits en Grèce», a estimé vendredi le ministre grec de la Justice. Le géant pharmaceutique bâlois fait l'objet d'une enquête à Athènes depuis l'année dernière.
Le président chypriote Nicos Anastasiades et le leader chypriote turc Mustafa Akinci, qui négocient depuis mai 2015, se sont retrouvés dans un grand hôtel du Mont Pèlerin, au bord du lac Léman. Ils avaient déjà eu 5 jours de discussions du 7 au 11 novembre.
«Une solution pour réunifier l'île de Chypre est à portée de main.» Au Mont-Pèlerin, pour l'ouverture de négociations de la dernière chance sur la réunification de Chypre, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est voulu optimiste, lundi.
Sous l'égide des Nations unies, les dirigeants chypriotes grec et turc doivent poursuivre lundi 7 novembre en Suisse leurs négociations en vue d'un accord sur la réunification de l'île méditerranéenne, divisée depuis quarante-deux ans.
Les dirigeants chypriotes grec et turc se retrouvent de lundi à vendredi au Mont-Pèlerin (VD) sous l'égide de l'ONU. Ils doivent poursuivre leurs négociations en vue d'un accord sur la réunification de l'île, divisée depuis 42 ans.