Pays: Turquie

Plus de 30.000 personnes ont fui les flammes sur l'île très touristique, écrasée par une fournaise qui attise le feu.

Le 24 juillet 2020, les forces policières d'Erdogan envahissaient la basilique Sainte-Sophie transformée en musée par Mustafa Kemal Atatürk pour la rendre au culte musulman.

Lozan, Λωζάνη, Լոզան. Le 24 juillet 1923, Lausanne est le centre du monde. Pour les peuples d'Anatolie, son nom ne résonnera plus jamais comme avant. Aujourd'hui, les diasporas commémorent cette «paix» synonyme de gloire pour les uns, de deuil et d'humiliation pour les autres

OPINION. Les Arméniens et les Kurdes sont les grands perdants du Traité de Lausanne, qui a fait de la Nouvelle Turquie un Etat neuf, souverain dans ses frontières. Contexte et coulisses avec l'historien Antoine Fleury, professeur émérite de l'Université de Genève

Le service de renseignement extérieur israélien, le Mossad, a annoncé ce jeudi 29 juin avoir «» un Iranien qui projetait de tuer un Israélien à Chypre, et dont l'interrogatoire «» a permis aux autorités chypriotes d'arrêter plusieurs personnes.

Des centaines de femmes, d'enfants, et d'hommes ont disparu dans la fosse océanique Calypso, tranchée abyssale de 5000 mètres, la plus profonde de la Méditerranée.

Depuis 2015, quand les vagues de réfugiés étaient houleuses et incessantes, les autorités européennes et nationales des pays méditerranéens se sont organisées. Elles ont mis en place des opérations de sauvetage, d'une part, et des contrôles renforcés des frontières, d'autre part.

Il y a huit ans déjà, en 2015, Mahmoud Taffash débarquait à Lesbos, en mer Égée. Ce jeune Syrien avait alors 18 ans. À l'instar de millions d'autres réfugiés fuyant la guerre civile syrienne, il avait atteint ces rivages à bord d'un zodiac parti de Turquie.

Appelons les choses par leur nom. Le principal responsable de la tragédie en Méditerranée, où des centaines d'hommes et de femmes ont perdu la vie, est l'Union européenne (UE) et certains de ses pays membres.

ÉDITORIAL. Des centaines de personnes sont sans doute mortes au large des côtes grecques. Une fois encore, la route de la Méditerranée centrale donne à voir la faillite de la politique d'immigration de l'Europe