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Grèce : Emmanuel Macron pessimiste sur l'accord

Publié dans Le Figaro le
Crédits photo : FRANCK PENNANT/AFP
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Crédits photo : FRANCK PENNANT/AFP

«On n'en a pas fini avec ce sujet». Quand François Hollande se félicite de l'accord sur un troisième plan d'aide, son ministre de l'Économie paraît lui beaucoup plus dubitatif. Lors d'un point presse mercredi matin, Emmanuel Macron s'est montré pessimiste sur la possibilité de conclure à court terme un accord sur un allègement de la dette grecque. Le ministre de l'Économie, ancien banquier d'affaires, s'est rallié aux critiques du Fonds monétaire international formulées mardi. Pour l'institution internationale, la dette grecque n'est pas viable, ce qui suppose que les créanciers l'annulent ou lui accordent un délai de grâce de 30 ans.

Alors que les députés doivent voter à l'Assemblée nationale mercredi sur ce compromis passé lundi et largement encouragé par le président de la République, Emmanuel Macron a ouvertement critiqué cette «avancée». «L'accord ne purge pas le sujet de la dette intellectuellement», a-t-il déclaré. «Théoriquement, je ne pense pas que sur le long terme ce niveau de dette soit possible (...) politiquement et de manière réaliste, à court terme il est impossible d'avoir un accord sur le sujet.»

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fdsq (non vérifié)

Bonsoir,
Je suis d'accord pour ne pas passer sous silence la dette de l'Allemagne envers la Grèce.
Cdt,
7654

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jeu 27/04/2017 - 00:27 Permalien
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GAUCI (non vérifié)

En réponse à par fdsq (non vérifié)

Le sujet de la dette grecque est essentiel depuis que les dirigeants du pays ont eu le courage de reconnaitre les erreurs passées, mais depuis, les solutions adoptées ne peuvent en aucun cas permettre au pays de se relever et de rembourser sa dette , quelques soient les plans d'austérité proposés. Le pays s'enfonce dans une crise qui s'amplifie, et qui aggrave la situation, sans lui permettre de remédier à tous les difficultés qui s'accumulent et s'amplifient; comment mettre sur pied une éducation nationale digne de ce nom (essentiel), un système de santé, une police, une administration, une infrastructure routière et ferroviaire, une agriculture valorisée. Seul, le tourisme peut apporter quelques devises, à condition qu'il puisse se moderniser et offrir tous les atouts de ce secteur, car pour l'instant il" bénéficie" des problèmes dans les pays musulmans, et des tarifs plus élevés en Espagne, Italie etc..
Ce peuple a besoin de retrouver sa fierté, son honneur et ce n'est pas en restant sous tutelle de banquiers ou de certains pays européens qu'il y parviendra. Les dirigeants européens ont commis trop d'erreurs et continuent hélas dans une voie qui ne peut aboutir à une solution envisageable, meme à long terme, ils seraient temps qu'ils en prennent conscience.

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ven 05/05/2017 - 07:50 Permalien

Je trouve dommage que le premier ministre grec et son ancien ministre de l'économie aient soutenu ce nouveau président qui apparemment n'est oas favorable pour un geste généreux envers la dette grecque.....

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sam 13/05/2017 - 12:07 Permalien

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