On a dit d’Odysseas Elytis qu’il était le poète de la mer Egée. « De l’Egée » est en ce sens un poème caractéristique bien que la mer et le soleil sont omniprésents dans l’ensemble de son œuvre.
Le poème Les chevaux d’Achile de Constantin Cavafy est basé sur le bien connu épisode de la rapsodie d’Iliade (Ψ’ 276-284 et ρ’ 426-449) : même Zeus ne peux empêcher la destinée de Patrocle, et, les chevaux bien qu’immortels
Léthé est un des 58 sonnets, caractéristique de l’écriture de Mavilis : il vante la fortune des morts qui peuvent oublier leur vie sur terre, alors que les vivants – qui voudraient bien oublier certaines amertumes de la vie – n’y arrivent pas.
Le « Cléopâtre, Sémiramis et Theodora » est le poème avec lequel Alexandre Baras se fait connaître dans les cercles littéraires, publié dans le magazine Lettres Alexandrines en 1929.