Falorin Balogun renoue avec la réussite à Monaco. (F. Scaccianoce/UEFA via Getty images)
Avant le match à Marseille ce dimanche (20h45), l'attaquant de Monaco explique pourquoi il revit depuis l'arrivée de l'entraîneur Sébastien Pocognoli, en octobre, et la manière dont il a évolué à son poste en un peu plus de trois ans en France.
Dans cette équipe de Monaco si lunatique, capable de battre avec conviction le PSG (1-0) et Galatasaray (1-0) mais aussi de perdre entretemps à Brest (0-1), il incarne l'une des rares valeurs sûres du moment. Folarin Balogun a retrouvé de la constance dans le sillage du changement d'entraîneur, mi-octobre.
Auteur d'un seul but avec Adi Hütter, l'attaquant américain de 24 ans en est à six en dix matches sous la direction de Sébastien Pocognoli, qui lui a redonné de la confiance. Avant le déplacement à Marseille ce dimanche (20 h 45), un adversaire qui lui réussit bien (3 buts en 5 matches), il donne les raisons d'une réussite qu'il peut encore améliorer.
« En yoruba, l'une des langues du Nigeria dont vos parents sont originaires, "Balogun" signifie "chef de guerre". Est-ce un hasard pour l'attaquant combatif que vous êtes ?
C'est drôle que vous me disiez ça parce que j'ai demandé à ma mère ce que notre nom signifiait il y a deux semaines seulement. Quelquefois dans la vie, on a une destinée et on doit comprendre ce que cela sous-entend pour…