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Zolotas, l’Olympe de la joaillerie

Publié dans Le Point le
Bagues en or 18 carats serties de saphirs bleus et de rubis, ou de saphirs jaunes et bleus, hymne aux joyaux byzantins.
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Bagues en or 18 carats serties de saphirs bleus et de rubis, ou de saphirs jaunes et bleus, hymne aux joyaux byzantins.

Pour célébrer ses 130 ans d'existence, le joaillier athénien a présenté à Paris une centaine de pieces uniques perpétuant l'alpha et l’oméga des savoir-faire grecs.

Dans le panthéon des joailliers centenaires, Zolotas soulève sans réserve l'enthousiasme d'un cénacle passionné. Joaillier ? Pas tout à fait, précise Marianne Le Clère-Papalexis, qui préfère, pour définir l'identité si singulière de cette institution athénienne née rue Aiolou (rue d'Éole), au pied de l'Acropole, en 1895, parler d'art de la chrysotechnie. Une science de l'éclat en quelque sorte, rendue possible grâce à des techniques ancestrales du travail de l'or, le martelage notamment.

La présidente française de la maison grecque connaît bien le sujet : elle accompagne depuis 1975 l'odyssée de cette institution. Son mentor : Xénophon Zolotas (1904-2004), figure emblématique de l'histoire grecque contemporaine, qui, tout en restant impliqué dans l'entreprise fondée par son père, Efthymi...

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