
Pour le ministre de la Défense grec, la "priorité du moment" est la signature des contrats des trois FDI et des six Rafale, "très probablement d'ici à la fin de l'année". (Crédits : Naval Group)
Dans une interview accordée au quotidien grec "Ta Nea" et publiée samedi, le ministre de la Défense grec Nikólaos Panayotópoulos, qui était interrogé sur l'expression d'intérêt d'Athènes pour trois corvettes françaises, a confié que l'achat de ces trois navires ne constituait qu'une "alternative" à l'acquisition d'une quatrième frégate FDI (frégate de défense et d'intervention), appelée également Belhara. Cette dernière figure dans le protocole d'accord signé fin septembre entre Naval Group et Athènes en tant qu'option. Pour le ministre de la Défense grec, la "priorité du moment" est la signature des contrats des trois FDI et des six Rafale, "très probablement d'ici à la fin de l'année".
"L'achat de corvettes comme alternative à l'achat de la quatrième frégate nous concernera dans le futur, mais pas encore", a révélé Nikólaos Panayotópoulos dans "Ta Nea".
La Grèce doit acheter trois FDI armées pour environ 3 milliards d'euros alors qu'entre février 2016 et juillet 2020, elle a négocié de gré à gré deux FDI pour 3,3 milliards d'euros, a révélé le ministre de la Défense grec. "Nous...