partis politiques en quelques dates
Voici quelques dates marquantes de l'histoire de partis politiques.
Formation du Parti Communiste Grec (KKE)
Le parti communiste (KKE) et sa branche armée, l'EAM, sont déclarés hors la loi, après qu'ils eurent annoncé la formation d'un "gouvernement des montagnes".
Naissance de Georges Papandréou à Saint Paul, dans le Minnesota aux Etats-Unis. Il prendra la succession de son père Andréas à la tête du PASOK (parti socialiste grec).
Constantin Caramanlis crée l'Union Nationale Radicale (en grec, Εθνική Ριζοσπαστική Ένωσις - ΕΡΕ), formation politique qui dominera l'espace politique de la droite jusqu'au coup d'Etat des colonels en 1967.
Parti pour ses études aux États-Unis en 1939, Andreas Papandreou revient en Grèce pour entreprendre la succession de son père en politique.
Ayant perdu les élections en novembre et en disgrâce avec la cour royale, Constantin Caramanlis démissionne de la direction de son parti, l'ERE, et s'exile à Paris. Il ne retournera en Grèce qu'après la chute des colonels, en 1974.
Après 27 ans d'illégalité, le Parti Communiste grec est officiellement reconnu.
Fondation par Constantin Caramanlis de Νέα Δημοκρατία (Nea Dimokratia / Nouvelle Démocratie / ND), le parti conservateur grec.
Andreas Papandreou à la tête du PASOK gagne les élections législatives : PASOK 48,07%, Nea Dimokratia (ND) 35,87%, KKE 10,93%.
Décès de Ilias Iliou, figure de la gauche communiste grecque et président du parti de l'EDA, à Athènes à l'âge de 81 ans.
Le PASOK, mené par Andreas Papandreou, remporte les élections avec 45,25% des voix contre 40,8% pour Nea Dimokratia.
Mort du fondateur du PASOK (Mouvement socialiste panhellénique) et ex-premier ministre de la Grèce Andreas Papandréou.
Costas Caramanlis succède à Miltiadis Evert à la tête de Nea Dimokratia, le parti conservateur grec.
Georges Papandréou, alors président du parti socialiste grec (PASOK), est élu président de l'Internationale socialiste.
Antonis Samaras gagne les primaires de Nea Dimokratia avec vote des militants, organisées pour la première fois dans l'histoire du parti conservateur ; avec 50,2% des votes contre sa concurrente Dora Bakoyannis 39,7%, Antonis Samaras succède ainsi à Costas Caramanlis à la tête de la grande formation grecque du centre-droit.