Dans la vallée de Kozani, dans le nord de la Grèce, d'épaisses fumées blanchâtres se dégagent des imposantes cheminées des cinq centrales à lignite encore en activité.
La Grèce est redevenue une destination très prisée des vacanciers, avec des chiffres qui dépassent ceux d'avant la pandémie, s'est félicité mardi le ministre du Tourisme, Vassilis Kikilias, sur la chaîne publique ERT.
Des centaines de pompiers continuaient à lutter mardi, pour la sixième journée consécutive, pour tenter de sauver d'un incendie l'un des plus importants parcs nationaux de Grèce, qui abrite trois des quatre espèces de vautours d'Europe.
Les Vingt-Sept viennent «juste de donner leur accord à l'ouverture de négociations d'adhésion avec l'Albanie et la Macédoine du Nord!», a tweeté le Premier ministre tchèque Petr Fiala, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE.
« La situation en Grèce est alarmante. Il existe actuellement une volonté sur le plan politique de réduire la liberté de la presse dans le pays », estime Pavol Szalai, responsable du bureau Union européenne-Balkans pour Reporters sans frontières (RSF).
Le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, s'est voulu optimiste, mardi 3 mai, lors de l'inauguration d'un terminal de gaz naturel liquéfié (GNL) au large de la ville d'Alexandroupoli, non loin de la frontière gréco-turque.
Multiethnique et plurielle, celle que l'on appelait la Jérusalem des Balkans a conjugué pendant près de 2500 ans les peuples, les cultures et les religions. Après la chute de l'Empire ottoman, à l'émergence du bloc soviétique, elle cesse d'être ce carrefour entre l'Orient et l'Occident.