Les discussions entre le gouvernement grec et ses créanciers (la Banque centrale européenne, le Mécanisme européen de stabilité et le Fonds monétaire international) sont entrées, ces derniers jours, dans une phase à nouveau cruciale.
Il y a un an, la Grèce portait au pouvoir Alexis Tsipras dans l'espoir d'en finir avec l'austérité. Un rodéo politico-économique plus tard, le patron de Syriza est mieux vu par les créanciers du pays que par les Grecs eux-mêmes.
Avec trois mois de retard sur le calendrier, les créanciers de la Grèce (Fonds monétaire international, Mécanisme européen de stabilité, Banque centrale européenne, Commission européenne), ont débarqué à Athènes, lundi 18 janvier, pour entamer leur première « revue » du plan d'aid
C'est une des mesures les plus attendues par les créanciers de la Grèce (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international, Union européenne) : le gouvernement grec d'Alexis Tsipras vient officiellement de lancer sa réforme des retraites.
La Grèce et ses créanciers sont tombés d'accord, vendredi 11 décembre, sur une série de mesures qui permettra à Athènes d'obtenir le versement d'une tranche d'un milliard d'euros dans le cadre du plan d'aide international octroyé au pays, a annoncé le ministre des finances, Euclide Tsakalot
L'étonnante bonne entente qui règne, depuis fin août, entre Athènes et ses créanciers (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international, Union européenne) serait-elle déjà en passe de disparaître ?
La Banque centrale européenne (BCE) a fait état samedi d'un besoin de capital allant jusqu'à 14,4 milliards d'euros pour les quatre principales banques grecques privées, montant inférieur aux sommes prévues par les partenaires d'Athènes pour leur recapitalisation.
Le compte à rebours a commencé pour les quatre grandes banques grecques. D'ici à vendredi, elles vont devoir expliquer à la Banque centrale européenne (BCE) comment elles prévoient de couvrir leurs besoins en capitaux d'un montant maximum ...
La Banque centrale européenne (BCE) a estimé à 14,4 milliards d'euros (15,6 milliards de francs) le besoin en capitaux des quatre principales banques grecques.Un montant inférieur aux sommes prévues par les partenaires de la Grèce pour leur recapitalisation.