Le père d’une victime de la pire catastrophe ferroviaire en Grèce, Panos Ruci, a mis fin à la grève de la faim qu’il menait depuis 23 jours devant le Parlement à Athènes après que la justice a accepté sa demande d’exhumation du corps de son fils.
Une étude publiée mercredi dans « Nature » revient sur l’activité sismique inhabituelle qui a touché l’île des Cyclades, en Grèce, en janvier et février. Les trois quarts des habitants avaient dû fuir la zone.
En première ligne face au réchauffement climatique et mal préparé, le pays est exposé à de graves problèmes d'approvisionnement en eau. Le gouvernement lance des grands chantiers d'infrastructures et va augmenter les tarifs, au désespoir de nombreux Grecs.
Le risque d’une secousse d’ampleur semble écarté sur la plus visitée des îles grecques, mais les spécialistes sont en désaccord sur l’origine des tremblements de terre qui ont fait fuir 11 000 des 15 000 résidents permanents.
Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, en déplacement vendredi à Santorin, a exclu un scénario catastrophe pour cette île touristique en proie à une intense activité sismique, un phénomène inédit qui n'a fait ni victime ni dégât jusqu'ici
La protection civile grecque a déclaré l’île touristique en état d’urgence jusqu’au 3 mars pour gérer les conséquences des secousses telluriques des derniers jours. Plus de 11 000 habitants et travailleurs saisonniers l’ont quittée depuis dimanche.
La célèbre île grecque a subi plus de 180 secousses sismiques quotidiennes depuis dimanche. Les autorités indiquent que l’origine des tremblements serait uniquement tectonique.
Ces dernières 24 heures, plus de 200 secousses ont touché l’île grecque de Santorin. L’activité sismique, qui a provoqué la fuite d’au moins 7000 personnes, fatigue la population.
Plus de 7 000 personnes, inquiètes, ont quitté Santorin en 48 heures en raison des séismes à répétition qui continuent mardi de secouer l'île touristique grecque. Un phénomène inédit qui surprend les scientifiques.