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EXCELLENT LIVRE DE SPYROS TSOVILIS

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Je viens de terminer un livre hallucinant, au sens propre, dans " CARNETS DE GARDE" Spiros TSOVILIS expose dans un roman à la fois littéraire et politique une expérience singulière (le service militaire), dans lequel il met en scène des personnages extrêmement touchants. Le style particulier de Spiros TSOVILIS, à la fois poétique et "dialogué" permet de rencontrer une langue (le grec, à travers des "hellénismes" en langue française), un univers (la Grèce actuelle, le service militaire et des interrogations sur l'Europe plus largement...) mais plus largement les mots qui nous manquent pour dire ce que nous avons été nombreux à vivre. L' auteur publie un premier roman explosif. Il n'épargne aucun travers grec et nous donne à voir "sa Grèce" de façon lumineuse. Un écrit risqué, mais réussi! A lire de toute urgence.

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Soumis par Anne Zeter (non vérifié) le

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Je viens de l'achever, c'est un ouvrage puissant dans lequel bon nombre d'anciens appelés reconnaîtront sans doute un bout de leur histoire, mais il touchera également tous ceux qui vivent ou ont vécu assez longtemps en Grèce pour être parfois déçus, agacés ou même avoir envie de baisser les bras devant un système militaire, politique ou administratif souvent absurde, mais qui, en même temps, trouvent une possible sérénité, parfois un vrai bonheur et souvent des élans passionnés quotidiens à travers les sons, langue et musique, les images et certaines rencontres de ce pays que je ne parviens décidément pas à oublier, même pas à mettre entre parenthèse. L'auteur vous offre tous les ressentis imaginables, et une réflexion grave mais que je trouve finalement optimiste: à lire et à relire, et à traduire en grec absolument!

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[color=#000066]Bonjour Anne, je te croyais encore quelque part du côté de Ioannina, après ton départ d`Héraklion, où ns ns étions vues qqfois il doit y avoir 1 bonne dizaine d`années et où je vis encore aujourd`hui bien qu`avec quelques intermittences (Paris-Athènes-Bxl). Je suis tjrs aussi nulle en danses crétoises et je ne touche presque + le bouzouki sauf après qq tsikoudiès de trop. Je serais heureuse en tt cas d`avoir de tes nouvelles. Tu avais bcp impressionné le président de notre Syllogue qui se souvient encore de toi (répétant ton nom, `à la manière de celui d`une héroïne de Duras je trouve)...
Amitiés, pandws, et -a défaut de kalh andamwsh- kaloriziko, opou kai na eisai ! Mk[/color]

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