+ VIDEOS - Il s'agit d'une "décision historique", estime François Hollande qui a salué le choix courageux du Premier ministre grec, alors qu'un accord unanime a été trouvé. "Le chemin sera long et difficile", prévient Angela Merkel.
+ VIDEOS - Après l'accord unanime qualifié d'«?historique?» par François Hollande, les ministres des Finances de la zone euro se réunissent pour discuter de l'aide financière à la Grèce sur du court terme. Les banques grecques ne devraient rouvrir que jeudi.
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Après 14 heures de négociations, les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro étaient toujours à la recherche d'une avancée décisive pour sauver la Grèce de la faillite, lundi matin à 6h15. Une heure plus tôt, ils semblaient pourtant proche d'un accord.
Un projet de compromis pour maintenir la Grèce dans l'euro a été mis sur la table par les dirigeants allemand, français, grec et le président du Conseil européen. Il a été soumis aux dirigeants de toute la zone euro pour approbation, selon une source proche des négociations.
L'euro se repliait légèrement face au dollar lundi dans les premiers échanges en Asie où les marchés s'affichaient en hausse en attendant le résultat de négociations cruciales entre la Grèce et les dirigeants de la zone euro.
Tout a commencé par un coup de téléphone nocturne, le 26 juin. Alexis Tsipras appelle François Hollande et Angela Merkel. Le premier ministre grec s'apprête à lancer une bombe qui va secouer toute l'Europe, mais il est très calme. «Je viens de réunir mon gouvernement.
Les dirigeants de la zone euro sont-ils en train d'accoucher d'un accord ? Après plus de 13 heures de réunion, les Dix-neuf ont commencé, lundi 13 juillet peu après 4 heures, à discuter d'un compromis pour trouver une porte de sortie à la crise grecque.
Une douche glacée, glaçante. Après les avancées des derniers jours, l'échec de l'Eurogroupe de samedi, dont un officiel français a décrit la «grande violence», a jeté un coup de froid sur les espoirs de François Hollande, qui ?uvre depuis le référendum pour éviter un Grexit.
Comme les chefs d'Etat et de gouvernement, Nicolas Sarkozy a passé son dimanche à Bruxelles sur fond de crise grecque. Si les premiers avaient rendez-vous au sommet de la zone euro, le second était présent au sommet du Parti populaire européen (PPE), dont le parti les Républicains est membre.