Le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis (à gauche), avec le ministre de l’Énergie américain, Chris Wright, le 7 novembre 2025, à la Conférence de la coopération transatlantique pour l’énergie, à Athènes. Photo ANGELOS TZORTZINIS/AFP
La Conférence de la coopération transatlantique pour l’énergie, qui s’est tenue au début de novembre à Athènes, a défini un nouveau rôle pour la Grèce dans le secteur énergétique. En en faisant un partenaire privilégié, les États-Unis espèrent exporter leur gaz en Europe pour remplacer le gaz russe.
La Conférence de la coopération transatlantique pour l'énergie, qui s'est tenue à Athènes les 6 et 7 novembre a posé les bases d'un nouveau rôle géopolitique et économique d'envergure pour la Grèce. Le pays doit tirer profit de sa situation géographique et de ses infrastructures énergétiques, misant sur l'énergie comme levier et sur sa proximité avec les États-Unis, premier exportateur mondial de gaz naturel liquéfié (GNL).
Les résultats positifs escomptés pour la Grèce ont été entérinés lors du sommet, compte tenu de la présence de trois ministres américains de haut rang et d'un total de 80 responsables américains (il est rare que trois ministres américains se rendent simultanément dans un même pays).
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