Samaras résiste au chantage de ses futurs alliés
Dur pour celui qui jusqu’au dernier jour avant les élections proclamait qu’il ne gouvernerait jamais avec le PASOK. Sans doute qu’Antonis Samaras espérait ainsi obtenir un score qui le permettrait de disposer d’une majorité suffisante pour gouverner sans alliés encombrants, mais il doit désormais s’accommoder du soutien des socialistes et des néo-communistes, qui entendent monnayer cher leurs 12,3% et 7,5% respectifs, au risque de donner une réalité au mythe des palabres méditerranéennes.