Le Parlement grec a adopté mardi soir un projet de budget pour 2019, le premier depuis la sortie de la Grèce de la stricte tutelle de ses créanciers. Il table sur une croissance de 2,5%.
Des milliers de Grecs ont manifesté samedi contre un projet d'accord sur le nom de la Macédoine et contre la politique économique du gouvernement, à Thessalonique (nord) où le Premier ministre grec Alexis Tsipras doit présenter ses nouvelles orientations économiques.
Le Parlement grec se retrouve samedi au centre de la bataille politique balkanique déclenchée par l'accord entre Athènes et Skopje sur le nom de Macédoine. Le Premier ministre Alexis Tsipras affronte une motion de censure de son opposition de droite.
Si l'optimisme règne à trois mois de la sortie de la Grèce du programme d'aide, de nombreuses questions cruciales ne sont toujours pas résolues, celle de la dette en particulier.
Vangelis Skoufas et Michalis Lolis agitent un drapeau arc-en-ciel devant la Vouli, le Parlement grec. Ce mercredi, ils veulent rappeler les revendications de la communauté LGBT pendant que les députés votent une loi visant à faciliter et accélérer l'adoption et le placement d'enfants.
Jugés depuis 2015, 69 membres du parti néonazi d'Aube dorée, qui compte 16 sièges au Parlement grec, sont accusés d'avoir dirigé une organisation criminelle.
« Une seule personne dans cette assemblée peut-elle nier l'existence du scandale Novartis ? N'existait-il pas une dépense excessive en médicaments en Grèce ? Certains produits dont les prix étaient gonflés ?
Le Parlement grec a adopté mardi 19 décembre le budget de 2018, présenté par le gouvernement comme le dernier avant que le pays cesse d'être sous perfusion financière internationale, en août de la même année.