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En visite officielle au Portugal, bon élève de l'austérité européenne, Manuel Valls a invité, vendredi, les autorités grecques à présenter "une liste de réformes plus profondes" et à "persévérer dans leurs efforts", si elles veulent obtenir les nouvelles aides européennes qu'elle
!["Il ne faut pas perdre de temps. Bientôt, l'Etat grec devra faire face à des périodes de remboursements importants", estime Manuel Valls. (Crédits : Reuters)](/sites/default/files/styles/max_650x650/public/images/pressfeeditem/2015/04/10/valls.jpg.webp?itok=ogAAxBCI "Valls juge "les progrès d'Athènes insuffisants"")
En visite officielle vendredi 10 avril au Portugal, Manuel Valls a confié au journal économique portugais Diário Económico, que la France resterait intransigeante envers Athènes.
![La France attend de la Grèce d'Alexis Tsipras "une liste de réformes plus profondes" si elle veut obtenir de nouvelles aides européennes, a déclaré vendredi le Premier ministre Manuel Valls - SALOM GOMIS SEBASTIEN/SIPA](/sites/default/files/styles/max_650x650/public/images/pressfeeditem/2015/04/10/1110107grece-paris-attend-une-liste-de-reformes-plus-profondes-declare-valls-web-tete.jpg.webp?itok=UMV4okhu "Grèce : Paris attend "une liste de réformes plus profondes", déclare Valls")
«Il n'y a pas d'austérité en France.» Dans une interview accordée aux Échos, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT rejette en bloc l'idée que l'Hexagone mènerait une politique d'austérité.
Maria BERASARTE "aguaenlaboca" & Katerina FOTINAKI "tzitzikia" : Pour un voyage du Portugal à la Grèce en compagnie de deux magnifiques chanteuses. C'est une soirée de grande beauté qui vous attend...
Premier accroc diplomatique pour Athènes: le premier ministre grec Alexis Tsipras s'est attiré les foudres de l'Espagne et du Portugal en accusant Madrid et Lisbonne d'avoir voulu conduire son pays à «une asphyxie financière» lors des négociations entre Athènes et l'Union européenne.
Premier accrochage diplomatique pour le nouveau premier ministre grec depuis son arrivée au pouvoir en janvier.
Le Premier ministre grec accuse les conservateurs espagnols et portugais de vouloir l’échec de son gouvernement pour des considérations électorales. Les réactions ont été virulentes.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a demandé samedi à son homologue grec Alexis Tsipras d'être « sérieux » et de ne pas faire de l'Espagne et du Portugal ses boucs émissaires, après ses accusations contre les deux pays.
C'est le premier accrochage ouvert entre le nouveau premier ministre de la Grèce et un autre dirigeant européen.