
Tiraillé entre impératifs sanitaires et économiques, le pays serre la vis pour faire face à la hausse inquiétante des contaminations.
Il aura fallu moins d'une semaine pour que «tout s'effondre», raconte Despina Karanika, gérante d'un hôtel à Poros. «Notre saison touristique est terminée. Nos réservations ont été annulées et nous devons nous séparer de certains membres du personnel.» L'île saronique de 4500 habitants, accolée au continent grec, accueillait jusqu'ici des voyageurs grecs et étrangers, de plus en plus nombreux depuis le début de la saison en juillet. «Ils étaient rassurés par la proximité des hôpitaux», explique Despina Karanika par téléphone.
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