
Depuis l'automne dernier, les Européens ont détourné les yeux de l'agitateur au pouvoir à Athènes, qui avait accaparé toute leur énergie durant les neuf premiers mois de l'année. Une crise chassant l'autre, le flot de réfugiés et le démantèlement de l'espace Schengen ont fait passer au second plan le cas d'Alexis Tsipras. Mais le problème grec n'a pas disparu, et il menace de revenir en boomerang parmi les priorités de l'UE.
Un an après l'accession au pouvoir du chef de la coalition d'extrême gauche Syriza, le bilan reste sombre. Seules quelques-unes des réformes exigées par les bailleurs de fonds ont été adoptées, moins encore mises en ?uvre. Le ...
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