La Grèce abordait samedi 11 juillet un week-end décisif pour son avenir. Et c'est en plusieurs endroits clés que la crise est peut-être en train de se dénouer.
La 92ème école primaire d'Athènes, un bâtiment très fatigué des années 50 qui nécessiterait une sévère réfection, est sise dans le quartier populaire de Neos Kosmos.
Au moins 20.000 personnes, selon la police, étaient rassemblées mardi soir à Athènes pour soutenir le « oui » au référendum, organisé dimanche par le gouvernement d'Alexis Tsipras, et soutenir les mesures budgétaires et réformes demandées à la Grèce par ses créanciers.
Au moins 20.000 personnes, selon la police, étaient rassemblées mardi soir à Athènes pour soutenir le "Oui" au référendum, organisé dimanche par le gouvernement d'Alexis Tsipras, et soutenir les mesures budgétaires et réformes demandées à la Grèce par ses créanciers.
Le gouvernement grec et le parti Syriza affirment rejeter en bloc les propositions des créanciers. Mais la rupture n'est pas à l'ordre du jour et l'objectif est d'obtenir un meilleur compromis.
Devant le Parlement grec, et à destination de son opinion publique, le Premier ministre a tenu un discours musclé en rejetant le plan de réformes de ses créanciers.
C'est clair et cash : dans une tribune publiée ce vendredi dans le quotidien britannique Financial Times, sept économistes parmi les plus renommés au monde se positionnent sans détour en faveur de Syriza, le parti anti-austérité au pouvoir en Grèce, en butte depuis six mois à la rig
Ministre délégué à la Sécurité sociale et figure de l'aile radicale de Syriza, Dimitris Stratoulis, a évoqué la possibilité d'élections anticipées si les créanciers d'Athènes refusent d'assouplir leur position.
Le ministre délégué grec à la Sécurité sociale, Dimitris Stratoulis, figure de l'aile radicale du parti Syriza, a prévenu vendredi que le gouvernement d'Alexis Tsipras pourrait être contraint d'organiser des élections anticipées si les créanciers d'Athènes n'assouplissent pas leur position.