Les matchs s'additionnent, les exploits et les désillusions s'accumulent : pas de doute, nous sommes au deuxième tour de Roland-Garros. Si le roi Nadal est absent, le spectacle, lui, est présent. Comme le montre la qualification de Monfils au bout du suspense et tard dans la soirée de mardi.
Le Serbe et le Grec s'affronteront dimanche 29 janvier. S'il l'emporte, Djokovic rejoindra Nadal, recordman des victoires en Grand Chelem.
Stefanos Tsitsipas est encore en rodage. Déjà battu en quarts de finale à Stuttgart par Andy Murray la semaine dernière, le Grec a été sorti prématurément du tableau de Halle (Allemagne) par Nick Kyrgios, ce mercredi (5-7, 6-2, 6-4).
Favori d'une partie basse du tableau où ne figuraient ni Djokovic, ni Nadal, ni Alcaraz, Stefanos Tsitsipas a quitté Roland-Garros dès les huitièmes de finale, ce lundi, face au Danois Holger Rune, 40e joueur mondial, à l'issue d'un match terriblement décousu (7-5, 3-6, 6-3, 6-4).
« Qu'est-ce qui vous a marqué dans ce match ?
A 22 ans, le Grec, numéro 5 mondial, a remporté sa demi-finale face à Alexander Zverev. Il disputera, dimanche, la finale face à l’un des « indéboulonnables » Nadal ou Djokovic.
Le Grec, tête de série n° 5, a battu l’Allemand, 6e mondial, en cinq sets, vendredi. Il disputera sa première finale à Paris contre le vainqueur du choc Nadal-Djokovic.
Lentement mais sûrement, la nouvelle vague s'installe au sommet du tennis mondial.
Enorme sensation à l'Open d'Australie avec la victoire du Grec sur le numéro 2 mondial en quart de finale. Il était pourtant mené deux sets à rien. Un score normalement rédhibitoire face à l'Espagnol.